McLaren n'est pas satisfait de la FIA après la perte de l'aileron arrière d'Ocon au GP du Canada

La saison dernière, nous avons régulièrement vu s'agiter le drapeau à boulettes, signe qu'une pièce est (trop) lâche et doit être réparée dans la voie des stands. Nous avons vu le drapeau à plusieurs reprises, même à des moments où il n'était peut-être pas nécessaire. Les équipes et la FIA ont accepté d'assouplir drastiquement la politique, mais l'incident d'Ocon est peut-être à nouveau l'autre extrême.

"La direction de course laisse désormais le devoir de diligence aux équipes. C'est à l'équipe de dire 'Nous devons retirer la voiture' ou 'Nous devons laisser la voiture dehors'. C'est une question délicate parce que les équipes, lorsqu'elles participent à une compétition, ont un conflit d'intérêts en ce qui concerne la sécurité de toutes les personnes impliquées et la maximisation de leur résultat", a déclaré Andrea Stella, cité par Speedcafe.com.

McLaren avait agi différemment d'Alpine

Le patron de l'équipe McLaren mettra la question à l'ordre du jour du prochain comité consultatif sportif."Vous devez connaître la construction de votre voiture. Vous devez évaluer ce qui ne va pas, et ensuite vous devez vous demander 'Ai-je sorti ma voiture et mes composants dans cet état ?'. Très probablement, la réponse est 'Non, nous ne l'avons pas fait'. Cela se résume donc à un sens des responsabilités que chaque équipe peut interpréter d'une manière différente."

Stella veut parler à la FIA pour savoir ce qui a motivé leur décision de ne pas faire venir Ocon pour régler le problème ou de le mettre hors course si l'aileron arrière ne pouvait pas être réparé.